Publié le 01/07/2019

Inauguration du stade Jean-Marc Bigot à Fruges.

En septembre dernier, l’une des figures locales de Fruges nous quittait, Jean-Marc Bigot, pharmacien de son état, mais surtout président d’honneur de l’ASFruges.

Ce samedi, en présence de son épouse Danielle, de son fils Julien et de sa famille mais aussi des anciens et actuels joueurs et dirigeants du club, de Dominque Hary représentant le District Côte d’Opale de football, a été rebaptisé le stade des Charbonniers qui s’appelera désormais le stade Jean-Marc Bigot.

Jean-Marie Lubret, maire de la commune, a rappelé tout ce que Jean-Marc a pu apporter à la ville, de part sa profession mais aussi ses nombreux engagements locaux, au premier rang desquels bien sûr son club de football.

Daniel Fasquelle a rappelé l’importance des bénévoles qui font vivre toutes les associations, maillage de notre société.

Ce fut ensuite le tour de celle qui l’a remplacé à la tête du club en 2017, après avoir été plus de 20 ans sa secrétaire, Sylvie Lefebvre, de prendre la parole avec beaucoup d’émotion. Relater ce que fut l’engagement de Jean-Marc ne peut pas tenir en un discours, a t’elle dit.

Danielle et Julien ont ensuite remercié la municipalité et le club pour cette touchante attention.

Un bel érable pourpre a été planté au milieu de ce bel espace qu’est le stade Jean-Marc Bigot, une sentinelle qui continuera à veiller sur la destinée du club de football, avant que ne soit révélée la plaque commémorative placée sur les vestiaires du stade.

La journée s’est poursuivie autour du verre de l’amitié offert par la municipalité puis par un repas qui a rassemblé famille, amis, joueurs avant que les anciens, parmi lesquels Jacques Lebel, le gardien de l’époque, Philippe Debas, Jean-Michel Leroy, Christophe Lefebvre, Xavier Garache…, supportés par des anciens comme Serge Martin, Francis Lemaitre, Charles Vasseur, Joël Jonville et bien d’autres, ne rechaussent les crampons pour un match amical fort sympathique et dénué d’enjeu contre de plus jeunes joueurs du club, sauf celui d’être en bonne compagnie.

Texte et photos : Sylvie Lefebvre